Les mélodies ciselées aux accents symphoniques, la voix laconique et profonde du ( très très) charmant Charlie Fink et les choeurs enthousiasmant de "Love of An Orchestra" ont fait souffler un doux vent de printemps sur la petite salle parisienne hier soir. Ces garçons-là ont de la grâce, de la modestie et surtout la fraîcheur insolente d'une jeunesse qui ne se prend pas la tête. Et ça fait du bien...
D'ailleurs, en parlant de jeunes talents et de modestie... quand est-ce que les salles parisiennes se décideront à programmer enfin des premières parties dignes de ce nom? Hier soir encore, nous avons eu droit à un bel exemple de ce que la nouvelle scène française peut générer de pire... des groupes sans saveur, sans couleur... à la suffisance déconcertante et surtout sans grand talent.
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